Wendy Sheppard
■ messages : 12 ■ monnaie : 60 ■ pseudo : celui dont on ne doit pas prononcer le nom ■ célébrité : Emma Watson
| Sujet: Wendy ~ never let me go Jeu 17 Juil - 12:46 | |
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you're beautiful crédits img @tumblr ▷ emma watson. ≈ ≈ ≈ | Mon père aimerait que je prenne sa place dans son agence de communcation, aux côtés de Dean, une fois qu'il ne sera plus là. Pourtant, celle-ci ne m'a jamais intéressée, mais je sais à quel point cela compte pour mon père alors j'y travaille moi aussi, dans le service des ressources humaines. □ A vrai dire, même si ce n'est pas non plus le travail dont j'ai toujours rêvé, je ne vois pas faire autre chose. Ça se trouve, j'aurai envie de reprendre l'entreprise avec Dean, rien n'est exclu. □ J'aime sortir, je suis très branchée restaurants, cinéma, musées... Ce genre de choses, mais je n'aime pas les discothèques pourtant j'adore danser, parait-il que je ne me débrouille pas trop mal. □ Je suis aquaphobe, je suis absolument incapable de mettre le pied dans une piscine, dans la mer et ça jusqu'au point de me noyer dans une baignoire. □ J'adore voyager, j'aime beaucoup l'Europe ainsi que le Canada. □ Je suis une piètre cuisinière. Quand le plat que je tente de faire n'est pas cramé, celui-ci n'est pas assez salé ou trop poivré : il y a toujours un problème ! C'est pour cette raison que je préfère faire appel à des traiteurs à domicile. □ Je ne suis pas une fille pour rien, j'ai une quantité astronomique de vêtements. Je suis très fan de robes et de chaussures. Je craque régulièrement sur l'un ou l'autre. □ Quand j'ai eu à affronter une situation gênante, j'ai tendance à éviter les gens. Malheureusement, je ne suis pas douée pour ça parce qu'on arrive toujours à me prendre sur le fait. |
□ PLAT PRÉFÉRÉ : les lasagnes, au saumon ou bien à la bolognaise. □ STYLE DE MUSIQUE : pop-rock, mais je déteste tout ce qui ressemble au rap. □ SAISON FAVORITE : l'hiver parce que c'est beau la neige, que c'est cool de boire du chocolat chaud près de la cheminée. □ FILM FAVORI : question difficile mais si je devais en choisir un, ce serait The Notebook où je pleure à tous les coups. □ VILLE PRÉFÉRÉE : je dirais Paris pour sa richesse culturelle, c'est une ville que j'ai adoré visiter, notamment ses musées. □ OBJET FÉTICHE : mon portable. J'avoue que j'y suis accro, je n'aime pas avoir l'impression d'être déconnectée. □ ANIMAL PRÉFÉRÉ : on dit que le chien est le meilleur ami de l'homme et c'est vrai, du moins c'est ce que je pense. J'ai moi-même un golden retriever, Shadow, qui a deux ans. □ COULEUR FAVORITE : le rouge, sans hésitation ! □ SOIRÉE IDÉALE : être avec Dean, rire avec lui, danser avec lui, le taquiner, le câliner, et plus si affinités. □ TRAITS DE CARACTÈRE : Dans ma vie personnelle, je suis le genre de fille qui aime bien taquiner ses amis, pas pour leur faire de la peine, juste pour rire. Il paraît aussi que suis marrante, je suis toujours prête à faire le pitre pour redonner le sourire à mes proches – je suis aussi capable de rester tranquille, de parler avec eux pour trouver les mots justes. J'ai toujours la pêche, que ce soit chez moi ou au boulot, je suis du genre énergique et dynamique. Je suis très câline avec ceux que j'aime, je réclame tout le temps, ce qui peut en agacer certains. Je suis quelqu'un d'intègre, jamais je ne manquerais à mes valeurs et mes principes, je prône la fidelité et la loyauté. Je suis aussi spontanée et assez franche – bien que je sache mettre les formes quand j'ai quelque chose à dire -, et parfois cela peut être un défaut tout autant qu'une qualité. Il m'arrive d'être très maladroite, j'ai des pattes de beurre comme on dit... Je suis tout à fait du genre à renverser du café sur la chemise d'un parfait inconnu. Quand j'ai un but, je fonce pour l'atteindre, que ce soit au travail ou dans ma vie personnelle. J'ai également pas mal de défauts, je peux devenir très possessive envers mes proches ou bien envers les hommes que je convoite ; je peux être très têtue et ne rien lâcher en aucun cas, même si j'ai tort – ce que je refuse d'admettre.
HAPPINESS ONLY REAL WHEN SHARED Je n'ai pas eu une enfance particulièrement traumatisante. Je suis née à Boston, dans une famille de classe moyenne. Je suis la petite dernière des Sheppard, ayant déjà deux grands frères de deux et trois ans mes aînés quand je suis venue au monde. Parfois, il faut avouer que les fins de mois étaient limites et pourtant, notre père se tuait à la tâche dans l'entreprise dans laquelle il bossait à l'époque, pour nous offrir le meilleur, qu'on fasse de bonnes études... Notre mère quant à elle, faisait de la couture et du repassage à la maison parce qu'elle voulait avoir aussi du temps pour nous élever. Notre père avait beau se défoncer au boulot, il faisait tout de même son maximum pour être présent pour nous. Il ne voulait pas donner cette image du père pour qui le travail comptait plus que la famille. Il insistait toujours auprès de son patron pour qu'il lui laisse quelques moments en famille, comme par exemple, que personne du travail ne le dérange alors qu'il est en week-end. Il profitait de ces instants pour nous apprendre des choses que chaque père se doit d'apprendre à ses enfants, comme faire du vélo, nager... Quand je montais sur un vélo, j'étais tellement maladroite que j'arrivais à peine à rouler quelques mètres. Mais mon père ne voulait pas que j'abandonne alors il me forçait à ne pas baisser les bras et continuer jusqu'à temps que j'y parvienne. Je crois que c'est ce qui fait que je suis si déterminée aujourd'hui. Pourtant, il y a quelques années, alors que j'avais presque quatorze ans, notre famille a subi une véritable descente aux enfers... L'entreprise dans laquelle travaillait notre père a eu de gros soucis financiers ce qui fait que tous les employés ont été licenciés. Il est tombé en dépression à la suite de son licenciement. Il ne savait plus du tout comment sortir notre famille de la misère et notre mère tentait de prendre le relai en faisant en plus de la couture et du repassage, des ménages chez les habitants de notre quartier. On s'en sortait, mais on était toujours justes à vrai dire... Si justes que même mes frères avaient fait en sorte de trouver un boulot en plus de leurs études pour aider mes parents et pour qu'on vive mieux. On a toujours été une famille très unies malgré les épreuves. De mon côté, je faisais ce qu'il fallait pour avoir de bonnes notes, sans forcément être l'intello de la classe. Et c'est là que notre père a eu l'idée de fonder sa propre entreprise avec un vieil ami, un certain monsieur Hawthorne. Pour ça, il nous fallait partir pour le Texas, alors on a déménagé, comme un nouveau départ. Certes, pour partir au Texas, on a dû tout quitter. Cette maison dans laquelle on avait tous grandi, nos amis qu'on connaissait depuis des années... Dans un premier temps, ça a été dur mais mon père, en éternel optimiste nous disait qu'on allait se faire à cette nouvelle vie et qu'on finirait par se plaire à Hillston. Finalement, il avait raison. Autant mes frères que moi, on a rapidement lié avec des jeunes de notre âge, mais ce n'est pas pour ça qu'on a perdu contact avec nos amis de Boston. On retournait les voir de temps en temps, mais ce n'était pas pareil, la séparation était toujours difficile. L'avantage de notre déménagement, ça avait été l'agence de communication qu'avait ouvert notre père avec monsieur Hawthorne. On ne s'attendait pas à ce que ça marche aussi bien et on était même devenus plus riches qu'avant ! On avait presque plus besoin de se serrer la ceinture. Notre père tenait à son agence comme à la prunnelle de ses yeux et il tenait absolument qu'un de ses enfants prennent sa place à la tête de l'entreprise quand il ne serait plus là. Il trouvait mes frères trop irresponsables pour un poste si important alors il m'a destinée à prendre sa place. A cette époque-là, j'étais ado et disons que ce n'était pas non plus le boulot dont j'avais toujours rêvé. Je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire alors je me suis dit pourquoi pas ? Il faut avouer que l'agence nous a sortis de la misère alors je ne trouvais pas ça honteux de reprendre le flambeau après mon père. A part ça, j'étais toujours aussi bonne élève qu'avant. Au lycée, je suis sortie avec quelques garçons mais ce n'était pas non plus l'amour fou. Je n'ai jamais ressenti la moindre « étincelle » pour eux, je ne me suis jamais dit que j'étais tombée sur le bon. En même temps, j'étais trop jeune pour me concentrer sur ces choses-là. Bien sûr, comme chaque ado, j'ai vécu les premières expériences : première cuite, première fois, première cigarette... Je n'étais pas une débauchée non plus. Bref, à la fin du lycée, j'ai poursuivi dans le domaine des ressources humaines et quelques années plus tard, l'année dernière, j'ai décroché mon diplôme brillamment. C'est là que mon père m'a embauchée dans ce service, dans son agence. Depuis que j'y travaille, mon regard se pose bien trop souvent sur son associé, Dean – il a pris la place de son père lors du décès de celui-ci il y a deux ans. Il me plait c'est certain mais je sais que mon père voit ça d'un mauvais œil, il essaye souvent de me tester en me présentant des garçons de mon âge envers lesquels je suis indifférente... Mon père ne cesse de me dire que le comportement de celui-ci a changé depuis que je suis là, du moins il me le fait comprendre. En fait avec Dean, on s'est beaucoup rapprochés... Je crois qu'on est devenus amis. On passe pas mal de temps ensemble, on s'amuse bien, on est plutôt complices. Il pourrait être une sorte de grand-frère mais je ne pense pas pouvoir le considérer de cette manière. Je ne suis pas proche de mes frères à ce point-là... Pas au point de déraper autant que nous l'avons fait il y a quelques jours... A ce moment-là, on était dans l'ascenceur et comme d'habitude, je parlais plus que lui. Je lui parlais de mes projets de vacances, comme quoi je comptais retourner en Europe avec des amies pour Noël mais j'avais l'impression qu'il était ailleurs. Ça ne m'empêchait pas de poursuivre dans ma lancée en lui expliquant tous nos projets en détails. Alors que je lui parlais de l'Italie, il m'a attrapée par ma nuque et tout s'est passé très vite. Il m'a embrassée comme aucun mec ne l'avait jamais fait. Bien sûr, je l'ai pas repoussé, je voulais que ça dure longtemps... Mais il a fini par se détacher de moi en marmonnant qu'il était désolé avant de me laisser en plan en sortant de l'ascenceur. Je ne savais plus quoi penser... Est-ce que ce n'était qu'un dérapage dû à un moment de faiblesse ? Ou bien est-ce que ça pouvait être réel ? Quoi que... Un homme est un homme. Ça se trouve ce n'était rien d'autre qu'une pulsion ne signifiant rien... Depuis, je ne fais que l'éviter. Dès que je le vois, je trace parce qu'ai trop peur qu'il me dise que ce n'était qu'une simple pulsion et qu'il n'y aura jamais plus... Je ne sais pas combien de temps je vais le fuir comme ça, peut-être que la meilleure chose serait qu'on parle... Pour le moment, je suis encore indécise... □ PRENOM/PSEUDO : celui dont on ne doit pas prononcer le nom. □ AGE : 18 en janvier prochain. □ REGION : Ile-de-France. □ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : par ma super binôme . □ AVATAR : Emma Watson. □ SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé. □ GROUPE : sunshine. □ COMMENTAIRE : est-ce qu'on pourrait me réserver Emma ? Merci . - Code:
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<span class="taken">◗ </span><bt3>EMMA WATSON</bt3> → <ca>wendy sheppard</ca>
Dernière édition par Wendy Sheppard le Lun 11 Aoû - 11:44, édité 4 fois |
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Jilian Scabior
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| Sujet: Re: Wendy ~ never let me go Ven 18 Juil - 12:02 | |
| Bienvenue, toi ! |
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Wendy Sheppard
■ messages : 12 ■ monnaie : 60 ■ pseudo : celui dont on ne doit pas prononcer le nom ■ célébrité : Emma Watson
| Sujet: Re: Wendy ~ never let me go Ven 18 Juil - 12:44 | |
| Merci, vous êtes beaux Oh ouais, team Peter Pan |
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